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A running theme for the art works by Nasser
Ghazizadeh, born in Sagehz, Kurdistan, Iran, is an
investigation into our perception life and memory. In
many of his exhibitions the use of bold colour and
heavy brush stokes demonstrates his influence by
Picasso’s Blue period but his heart is set on the
Kurdish landscapes as evident from his painting
"Kurd".
Painting and drawing from an early age of 7, his
mother's cheerful disposition encouraged his natural
curiosity about everyday things and feelings. Especially of Humanity. Eventually
after Paris Sorbonne (DEA en Arts plastiques) 1985, artistic Nasser chose
nudes and expressive stallions as the basis of his contemporary work. He
completed his education at Paris Sorbonne (Doctorat en preparation) in 1987.
Whilst he continues to work as evident from "The Blind Boof" he is making
preparations to exhibit both old and new paintings in galleries in London and
Paris in 2015. His recent interview suggests his empathy for the modern day
heroes.

 

Solo Shows
Foyer Protestant a Aubervilliers, Paris, 2005

 

Group Shows
Sterk Tv Belgium, Belgium, 2015
Montreuil Hivernales, Paris, 2013
L'Institut Kurde de Paris, Paris, 1983

Nasser Ghazizadeh est né en 1946 en Kurdistan d'Iran. Il a passé son enfance à Sardasht, Saghze et Mahabad (Sablagh), et depuis son jeune age il est passionné de peinture et de dessin. A l'age de 6-7 ans, il dessine et passe la plupart de son temps à réaliser des dessins de son entourage à Sardasht. Inspiré par un grand livre de Shahnaleh de Ferdossi, il copie des images de héros comme Rostam et Sohrab. A l'age de 18 ans il s'installe à Téhéran la capitale de l'Iran et s'inscrit à l'université des Beaux Arts.

 

Après avoir obtenu sa licence de peinture de l'université de Téhéran, il deviendra professeur de dessin au Kurdistan et plus tard dans la capitale iranienne. Après la révolution iranienne, il quitte l'Iran, et s'installe comme réfugié politique en 1983 à Paris, la capitale de l'art et de la culture. A cette période il peint et travaille sous l'influence des artistes réalistessocialistes russes de la guerre de 1914-1918 (Repin, Plastov). En 1983 il s'inscrit a l'université de Paris dans le 8e et passe une maîtrise en arts plastique.

 

Puis, il passe son DEA à l'université de la Sorbonne sous la direction de Jean Roudelle et René Passeron. Durant cette période, Nasser se rend compte que sa manière de peindre ne lui correspond plus. Il changea alors ses réflexions artistiques et théoriques et chercha à trouver une solution pour sortir de ce problème. Il se nourrit sur le plan pictural et théorique, dans les musées et galeries d'arts. Après avoir vu l'exposition de Klimte à Paris, il eut un choc et retrouva son chemin.

 

Après cette mutation, il fut influencé par des artistes comme Francis Bacon, Picasso, Paul Gauguin, Nabi, mais aussi par des impressionnistes, des surréalistes etc... Finalement il choisit l'Homme comme axe principal de son travail. La place d'une femme est dans les œuvres d'arts car les femmes sont l'origine du monde, comme disait Courbet à travers ses peintures. En effet, la peinture est un support pour communiquer selon Nasser Ghazizadeh.

 


Interview à la télé


Sterk Tv Belgique, Belgique 2015
Montreuil Hivernales, Paris 2013
L'Institut Kurde de Paris, Paris, 1983
Chaine internationale TF1 France 1985

 

 

 

 

 

 

Nasser Ghazizadeh, born in Sagehz in Kurdistan of Iran, is an investigation into our perception life and memory.

In many of his exhibitions the use of bold colour and heavy brush stokes demonstrates his influence by Picasso’s Blue period

but his heart is set on the Kurdish landscapes as evident from his painting "Kurd".

Painting and drawing from an early age of 7, his mother's cheerful disposition encouraged his natural curiosity about everyday things and feelings. Especially of Humanity. Eventually after Paris Sorbonne (DEA en Arts plastiques) 1985, artistic Nasser chose nudes and expressive stallions as the basis of his contemporary work. He completed his education at Paris Sorbonne (Doctorat en preparation) in 1987.
  
Whilst he continues to work  as evident from "The Blind Boof"  he is making preparations to exhibit both old and new paintings in galleries in London and Paris in 2015. His recent interview suggests his empathy for the modern day heroes. 

 

Group Shows


Sterk Tv Belgium, Belgium, 2015
Montreuil Hivernales, Paris, 2013
L'Institut Kurde de Paris, Paris, 1983

Chaine international TF1 France, 1985

Expositions

Rétrospective 1983-2016 des œuvres du Nasser Ghazizadeh

L'Institut kurde de Paris

organise une exposition des œuvres du peintre kurde

Nasser Ghazizadeh

Rétrospective 1983-2016


Exposition ouverte au public

Du lundi au vendredi
du 16 au 30 novembre 2016 de 14h à 19h

1- exposition  au  gallérie  de Naghshi (individuel ) 1979
2 -exposition au musée des art contemporain iran (collective )1980
3- exposition au musée (niavaran )Iran collective  1981
4 -exposition à l institut Kurde de Paris (collective ) 1983
5- exposition en Allemagne  à l institut Kurde de Bonn (collective )1985
6- exposition à la maison de la radio France (individuel )1987
7-exposition à Londres gallérie dixon (collective ) 1988
8- exposition à l institut Kurde de Paris (halabja) collective 1988
9-exposition à romillion (collective )1988
10 exposition en Italy à gallérie bzgnacavallo1993
11-exposition de Cimade (peintre de l exill)Léo la grange  collective 1990
12- exposition fra Angelico Paris 6eme (collective )1991
13-exposition Paris gallérie etienne de cousin (individuel )1996
14- exposition à Paris Montmarte (cam)collective 1997
15-exposition à Paris gallérie bernanoos (collective )1999
16-exposition à Boulogne espace landowski (collective )2000
17-exposition à Paris atelier 49 (individuel )2001
18-exposition à Boulogne (art parcourt (collective )2002
19-exposition à Paris atelier 49 (individuel ) 2002
20- exposition à la mairie de 18 (collective ) 20???
21- exposition à Cambresis  (collective )2012
22 exposition à cambresis (individuel )2012
23 -exposition à Montreuil (hivernal ) collective 2013
24 -exposition à Londres  gallérie espacio gallery (collective ) 2015
25 expo a paris institud kurde (retrespective )2016
26 exposition colective grade palais 2017

Portefaix “Kolbar” du peintre kurde Nasser Ghazizadeh


 

L’Institut kurde de Paris organise une exposition des œuvres du peintre kurde Nasser Ghazizadeh,

qui, pour soutenir les victimes du tremblement de terre au Kurdistan iranien dans la province de

Kermânshah, reverse une partie des bénéfices de la vente de ses œuvres aux victimes de ce séisme

Dans la nuit du 12 au 13 novembre 2017 un violent séisme de magnitude 7,3 a secoué la province de

Kermânshah, au Kurdistan iranien. Selon les chiffres officiels, ce tremblement de terre a fait plus

de 600 morts et quelque 12 000 blessés. Il a détruit ou endommagé environ 30 000 logements.

Nasser Ghazizadeh est né en 1946 en Kurdistan d'Iran où Il passe son enfance à Sardasht, Saghiz,

Mahabad. Passionné de peinture et de dessin, il commence à dessiner à l'âge de 6 ans en s’inspirant

du Chahnameh du grand Ferdowsi. Il copie les images des héros Rostam et Sohrab. A l'âge de 18 ans,

il s'installe à Téhéran où il s'inscrit à la faculté des Beaux Arts.

Après avoir obtenu sa licence de peinture de l'université de Téhéran, il devient professeur de dessin

au Kurdistan et plus tard dans la capitale iranienne. Après la révolution islamique, il quitte l'Iran en

1983 et demande l’asile politique à Paris, la capitale ds arts et de la culture. La même année, il s'inscrit

à l'université de la Sorbonne et soutient son DEA sous la direction des professeurs Jean Roudelle et René Passeron.

Nasser Ghazizadeh peignait et travaillait alors sous l'influence des artistes réalistes-socialistes russes de la guerre de 1914-1918 (Repin, Plastov). C’est en France qu’il se rend compte que sa manière de peindre ne lui correspond plus et il change ses réflexions artistiques et théoriques. Le grand bouleversement se produit au moment de la belle exposition de Gustav Klimt au Centre Georges Pompidou à Paris et sa peinture se laissera dorénavant influencer par Francis Bacon, Picasso, Paul Gauguin, Nabi mais aussi par les impressionnistes et les surréalistes.
Finalement Nasser Ghazizadeh choisit l'Humain comme axe principal de son travail et donne une place toute particulière à la femme qui est “à l'origine du monde”, comme le dit si bien Courbet à travers sa peinture, car la peinture est la plus belle manière de véhiculer la communication.

Citoyen engagé, il porte un regard attentif et réaliste à travers sa peinture sur la situation des classes pauvres de la société kurde. Il en est ainsi de ses tableaux sur les portefaix « Kolbar », des femmes et des hommes, qui au péril de leur vie, transportent sur le dos d’importantes quantités de marchandises entre les montagnes du Kurdistan iranien et irakien. Nasser Ghazizadeh est membre fondateur de l’Association des Kurdes résidant en France (AKRF). A ce titre il participe aux actions de sensibilisation sur les Kurdes et le Kurdistan.

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